Petit film autobiographique qui tourne autour de la célèbre Edith Piaf...
Cette petite n'a pas eu une enfance facile. On la voit, délaissée par sa mère, reprise par son père, élevée par sa grand-mère dans un bordel (sympa). Mais il faut dire que les prostituées s'accaparent cet enfant avec amour et dévotion, elle est leur petite poupée. Cependant, ce temps heureux ne peut durer, et son père l'embarque avec lui dans le cirque ambulant où il travaille en tant que contorsionniste. Le jour où il est viré, le talent de la petite Edith prend soudain le devant de la scène lorsque, alors qu'il mendie aux passants, sa fille se met soudain à chanter la Marseillaise et éblouit les tympans de tous!
Prenant l'habitude de chanter dans la rue pour gagner sa vie, elle est remarquée par Louis Leplée, le gérant d'un cabaret. Lorsque ce dernier est retrouvé assassiné et qu'on l'accuse, le succès de la môme piaf, comme il l'a surnommé (car elle est toute gracile, on dirait un moineau, et dans son milieu, cela ce dit piaf voilà voilà).
Cependant, la caractérielle Edith Piaf prend son essor, arrive sur le devant de la scène des music hall et sur la scène internationale, où elle chante à New York, rencontre même Marylin. Ce personnage, c'est tout ou rien; rien n'est fait à moitié. On la voit souvent avec sa bouteille, souvent ivre, aucun filtre n'empêche à ses mots de s'exprimer - elle dit ce qu'elle pense avec une franchise parfois blessante, souvent touchante. Sa vie est reliée à sa voix. Elle est souvent impossible, râleuse comme pas deux, insupportable, vraiment, on dirait mon arrière grand mère. Ses graves problèmes de santé la font vieillir avant l'âge ; à 40 ans, elle en parait 80, toute ratatinée. La polyarthrite rhumatoïde, l'alcool et enfin la toxicomanie (addiction à la morphine en l'occurence) n'aident pas vraiment. Elle tombe plusieurs fois en pleine scène.
Par contraste, on regarde avec étonnement une Edith Piaf qui croit éperdument en Sainte Thérèse, à qui elle doit avoir recouvrer la vue étant enfant, en raison d'une kératite aigue qui lui avait value une cécité transitoire. On la voit blessée jusqu'à l'âme lorsque son fidèle Marcel, champion de boxe, je crois qu'il s'appelle Marcel hein, meurt dans un accident d'avion en la rejoignant. Sa vie personnelle n'a pas été excessivement joyeuse.
Un film à voir rien que pour entendre sa voix incroyable...
Cette petite n'a pas eu une enfance facile. On la voit, délaissée par sa mère, reprise par son père, élevée par sa grand-mère dans un bordel (sympa). Mais il faut dire que les prostituées s'accaparent cet enfant avec amour et dévotion, elle est leur petite poupée. Cependant, ce temps heureux ne peut durer, et son père l'embarque avec lui dans le cirque ambulant où il travaille en tant que contorsionniste. Le jour où il est viré, le talent de la petite Edith prend soudain le devant de la scène lorsque, alors qu'il mendie aux passants, sa fille se met soudain à chanter la Marseillaise et éblouit les tympans de tous!
Prenant l'habitude de chanter dans la rue pour gagner sa vie, elle est remarquée par Louis Leplée, le gérant d'un cabaret. Lorsque ce dernier est retrouvé assassiné et qu'on l'accuse, le succès de la môme piaf, comme il l'a surnommé (car elle est toute gracile, on dirait un moineau, et dans son milieu, cela ce dit piaf voilà voilà).
Cependant, la caractérielle Edith Piaf prend son essor, arrive sur le devant de la scène des music hall et sur la scène internationale, où elle chante à New York, rencontre même Marylin. Ce personnage, c'est tout ou rien; rien n'est fait à moitié. On la voit souvent avec sa bouteille, souvent ivre, aucun filtre n'empêche à ses mots de s'exprimer - elle dit ce qu'elle pense avec une franchise parfois blessante, souvent touchante. Sa vie est reliée à sa voix. Elle est souvent impossible, râleuse comme pas deux, insupportable, vraiment, on dirait mon arrière grand mère. Ses graves problèmes de santé la font vieillir avant l'âge ; à 40 ans, elle en parait 80, toute ratatinée. La polyarthrite rhumatoïde, l'alcool et enfin la toxicomanie (addiction à la morphine en l'occurence) n'aident pas vraiment. Elle tombe plusieurs fois en pleine scène.
Par contraste, on regarde avec étonnement une Edith Piaf qui croit éperdument en Sainte Thérèse, à qui elle doit avoir recouvrer la vue étant enfant, en raison d'une kératite aigue qui lui avait value une cécité transitoire. On la voit blessée jusqu'à l'âme lorsque son fidèle Marcel, champion de boxe, je crois qu'il s'appelle Marcel hein, meurt dans un accident d'avion en la rejoignant. Sa vie personnelle n'a pas été excessivement joyeuse.
Un film à voir rien que pour entendre sa voix incroyable...
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