Choquée déçue par ce film. Vraiment.
J'avais envie de le voir depuis longtemps, au point d'essayer de persuader (en vain, dieu merci !) ma famille pour le louer sur la freebox. Comme dans l'ensemble ils n'étaient pas du tout chauds pour cause d'addiction sévère à Downton Abbey, qu'ils ne peuvent sacrifier à aucun autre movie le soir, j'ai évité une situation très inconfortable et très gênante (surtout en famille) : les scènes perverses sado maso, homosexuelles trèèèèèèèès explicites (pour le coup, les coréens ne semblent pas souffrir de lesbianphobie), et, pour couronner le tout, la scène de torture atroce de la fin.
Fin tellement atroce, par ailleurs, que mon âme sensible, heurtée par tant de violence, n'a pas su aller jusqu'au bout des dix dernières minutes qu'il me restait à regarder :p je craignais le pire, et je n'avais pas particulièrement envie de garder en dernière image de ce film l'amputation des parties intimes d'un des acteurs principaux (oui oui). Surtout qu'il était 2h du mat, et bof envie de terminer sur un goût pareil à cette heure. Bwef......
L'univers est intense, brodé de paradoxe, entre le raffinement divin de l'aristocratie japonaise et la dureté inflexible de ces personnages tortueux, entre les scènes de lecture porno malsaines et les délicates estampes japonaises... Heureusement que le dénouement heureux privilégie la vie car je n'aurais pas supporté une autre fin!
Sinon, niveau synopsis de l'histoire (qui, en réalité, est pas si mal que ça !) : deux brigands chinois (ou viêtnamiens? en tout cas, pas japonais), une jeune femme et un escroc, rêvent de richesse pour se sortir de leur condition de misère. Ils comptent pour cela infiltrer une magnifique maison japonaise, détenue par une héritière fortunée, que l'on dit un peu folle (pas si folle que ça, finalement...). Ils ignorent vraiment dans quoi ils s'embarquent ; dans quel univers pervers ils s'installent... #oncledégueulassedel'enfer
La jeune femme est ainsi embauchée sous fausse lettre de recommandation comme la servante de la demoiselle (demoiselle = la jeune femme riche réputée folle qu'ils veulent voler. Oui, j'ai un problème avec les noms, je n'arrive jamais à les retenir... surtout quand ils sont japonais O_o Sizuki? Kamado? Soukati? aucune idée). Pendant ce temps, l'escroc se fait passer pour un noble, un comte, dont le projet principal est d'épouser cette femme riche pour la faire ensuite interner et récolter toute sa fortune. Vouala. Le rôle de la servante? Elle est censée gagner sa confiance, ne pas tarir d'éloges sur l'escroc, pour précipiter la demoiselle dans ses bras.
Mais les choses ne se passent pas comme prévu...
La demoiselle cache très bien son jeu. Le montage du film est vraiment superbe niveau scénario, en tout cas j'ai beaucoup aimé les rebondissements inattendus de situation... incrédiblé ! Si on omet toutes les scènes de violence et de masturbation (notamment celle au couteau omg), j'aurais adoré ce film! A chaque acte, chaque personnage que l'on croyait trompeur devient trompé, et les scènes sont enrichies de nouveaux éléments. Au début, c'est l'histoire d'une jeune servante qui manigance contre sa maîtresse pour la faire interner. Ensuite, c'est plutôt l'histoire d'une jeune servante qui se fait avoir par un être qui parait doux comme euh la peau d'un fruit juteux? mais au coeur noir et désertique de sentiment. Finalement, Mademoiselle est surtout une histoire d'amour.
Surtout, découvrir l'univers japonais, c'est juste... whaou. Leurs maisons ont un charme fou. Surtout celle ci, j'imagine, vu la fortune de la demoiselle... Et que dire des kimonos? C'est tellement beau😍
A voir avec le coeur accroché! Si c'est le cas, vous ne serez sûrement pas déçu... ;)
J'avais envie de le voir depuis longtemps, au point d'essayer de persuader (en vain, dieu merci !) ma famille pour le louer sur la freebox. Comme dans l'ensemble ils n'étaient pas du tout chauds pour cause d'addiction sévère à Downton Abbey, qu'ils ne peuvent sacrifier à aucun autre movie le soir, j'ai évité une situation très inconfortable et très gênante (surtout en famille) : les scènes perverses sado maso, homosexuelles trèèèèèèèès explicites (pour le coup, les coréens ne semblent pas souffrir de lesbianphobie), et, pour couronner le tout, la scène de torture atroce de la fin.
Fin tellement atroce, par ailleurs, que mon âme sensible, heurtée par tant de violence, n'a pas su aller jusqu'au bout des dix dernières minutes qu'il me restait à regarder :p je craignais le pire, et je n'avais pas particulièrement envie de garder en dernière image de ce film l'amputation des parties intimes d'un des acteurs principaux (oui oui). Surtout qu'il était 2h du mat, et bof envie de terminer sur un goût pareil à cette heure. Bwef......
L'univers est intense, brodé de paradoxe, entre le raffinement divin de l'aristocratie japonaise et la dureté inflexible de ces personnages tortueux, entre les scènes de lecture porno malsaines et les délicates estampes japonaises... Heureusement que le dénouement heureux privilégie la vie car je n'aurais pas supporté une autre fin!
Sinon, niveau synopsis de l'histoire (qui, en réalité, est pas si mal que ça !) : deux brigands chinois (ou viêtnamiens? en tout cas, pas japonais), une jeune femme et un escroc, rêvent de richesse pour se sortir de leur condition de misère. Ils comptent pour cela infiltrer une magnifique maison japonaise, détenue par une héritière fortunée, que l'on dit un peu folle (pas si folle que ça, finalement...). Ils ignorent vraiment dans quoi ils s'embarquent ; dans quel univers pervers ils s'installent... #oncledégueulassedel'enfer
La jeune femme est ainsi embauchée sous fausse lettre de recommandation comme la servante de la demoiselle (demoiselle = la jeune femme riche réputée folle qu'ils veulent voler. Oui, j'ai un problème avec les noms, je n'arrive jamais à les retenir... surtout quand ils sont japonais O_o Sizuki? Kamado? Soukati? aucune idée). Pendant ce temps, l'escroc se fait passer pour un noble, un comte, dont le projet principal est d'épouser cette femme riche pour la faire ensuite interner et récolter toute sa fortune. Vouala. Le rôle de la servante? Elle est censée gagner sa confiance, ne pas tarir d'éloges sur l'escroc, pour précipiter la demoiselle dans ses bras.
Mais les choses ne se passent pas comme prévu...
La demoiselle cache très bien son jeu. Le montage du film est vraiment superbe niveau scénario, en tout cas j'ai beaucoup aimé les rebondissements inattendus de situation... incrédiblé ! Si on omet toutes les scènes de violence et de masturbation (notamment celle au couteau omg), j'aurais adoré ce film! A chaque acte, chaque personnage que l'on croyait trompeur devient trompé, et les scènes sont enrichies de nouveaux éléments. Au début, c'est l'histoire d'une jeune servante qui manigance contre sa maîtresse pour la faire interner. Ensuite, c'est plutôt l'histoire d'une jeune servante qui se fait avoir par un être qui parait doux comme euh la peau d'un fruit juteux? mais au coeur noir et désertique de sentiment. Finalement, Mademoiselle est surtout une histoire d'amour.
Surtout, découvrir l'univers japonais, c'est juste... whaou. Leurs maisons ont un charme fou. Surtout celle ci, j'imagine, vu la fortune de la demoiselle... Et que dire des kimonos? C'est tellement beau😍
A voir avec le coeur accroché! Si c'est le cas, vous ne serez sûrement pas déçu... ;)
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