Coucou mes petits pâtés en croute,
Aujourd'hui, je vais vous parler d'une pièce de théâtre majeure, écrite par le fameux Oscar Wilde... j'ai nommé... attention, roulements de tambours... L'importance d'être Constant! Sans blagues, cette pièce m'a beaucoup fait rire; c'est le genre de lecture légère et agréable qui nous distrait un peu de notre quotidien grisouille (oui, grisouille, comment ça un néologisme :p)
Tout d'abord, un petit point sur l'auteur, Oscar Wilde! C'est un écrivain irlandais né à Dublin en 1854, et mort à Paris en 1900. Il fait une scolarité brillante, étudie à Oxford et est inséré dans la bonne société. Sa théorie esthétique est appuyée par ses oeuvres, notamment son célèbre roman Le portrait de Dorian Gray (un véritable scandale qui l'a fait connaître). Il est condamné par diverses procès et en raison de son homosexualité, et ses heures en prison verront naître une longue lettre qu'il adresse à l'un de ses amants, De Profundis. Après cet enfermement, il quitte Londres pour rejoindre Paris, où il y mourra dans la pauvreté, y achevant d'abord sa ballade La Ballade de la geôle de Reading.
Il a écrit des poèmes, des pièces de théâtre, des romans, des nouvelles, des essais, des recueils! Il était très réputé pour sa conversation et son habillement extravagant. Il porte les cheveux longs, des lavallières. Il défend l'esthétique du Beau en tant que tel; selon lui, l'art est par définition inutile, et permet la recherche de la beauté en dehors de toute préoccupation sociale, politique, morale. Il défend également la cause féministe.
Pour en savoir plus: ici !
Retours sur la pièce de théâtre:
Il s'agit d'une comédie en quatre actes, reprenant la célèbre situation du quiproquo. L'écriture est légère et fluide, les répliques sont bien trouvées, plusieurs passages m'ont fait rire. C'est très agréable à lire.
Wilde se moque pas mal de la gente féminine, avec leur sentimentalité, leurs journaux intimes, leur obstination ridicule; c'est une caricature si grotesque que cela ajoute du comique à la pièce. Tout est grossi. Il tourne également en ridicule les gens de l'aristocratie, qui se prennent trop au sérieux. On voit arriver les ficelles, mais ce n'est absolument pas gênant, tant les répliques sont amusantes et les situations burlesques. Le théâtre, après, est fait pour être vu et non lu, il serait intéressant d'y voir une représentation.
Aujourd'hui, je vais vous parler d'une pièce de théâtre majeure, écrite par le fameux Oscar Wilde... j'ai nommé... attention, roulements de tambours... L'importance d'être Constant! Sans blagues, cette pièce m'a beaucoup fait rire; c'est le genre de lecture légère et agréable qui nous distrait un peu de notre quotidien grisouille (oui, grisouille, comment ça un néologisme :p)
Tout d'abord, un petit point sur l'auteur, Oscar Wilde! C'est un écrivain irlandais né à Dublin en 1854, et mort à Paris en 1900. Il fait une scolarité brillante, étudie à Oxford et est inséré dans la bonne société. Sa théorie esthétique est appuyée par ses oeuvres, notamment son célèbre roman Le portrait de Dorian Gray (un véritable scandale qui l'a fait connaître). Il est condamné par diverses procès et en raison de son homosexualité, et ses heures en prison verront naître une longue lettre qu'il adresse à l'un de ses amants, De Profundis. Après cet enfermement, il quitte Londres pour rejoindre Paris, où il y mourra dans la pauvreté, y achevant d'abord sa ballade La Ballade de la geôle de Reading.Il a écrit des poèmes, des pièces de théâtre, des romans, des nouvelles, des essais, des recueils! Il était très réputé pour sa conversation et son habillement extravagant. Il porte les cheveux longs, des lavallières. Il défend l'esthétique du Beau en tant que tel; selon lui, l'art est par définition inutile, et permet la recherche de la beauté en dehors de toute préoccupation sociale, politique, morale. Il défend également la cause féministe.
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Retours sur la pièce de théâtre:
Il s'agit d'une comédie en quatre actes, reprenant la célèbre situation du quiproquo. L'écriture est légère et fluide, les répliques sont bien trouvées, plusieurs passages m'ont fait rire. C'est très agréable à lire.
Wilde se moque pas mal de la gente féminine, avec leur sentimentalité, leurs journaux intimes, leur obstination ridicule; c'est une caricature si grotesque que cela ajoute du comique à la pièce. Tout est grossi. Il tourne également en ridicule les gens de l'aristocratie, qui se prennent trop au sérieux. On voit arriver les ficelles, mais ce n'est absolument pas gênant, tant les répliques sont amusantes et les situations burlesques. Le théâtre, après, est fait pour être vu et non lu, il serait intéressant d'y voir une représentation.
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